Source de l’image:https://nypost.com/2024/01/07/opinion/any-more-poison-pills-and-mayoral-control-of-nyc-schools-will-be-a-dead-letter/
Titre : Des pilules empoisonnées menacent le contrôle du maire sur les écoles de New York
Le New York Post – 07 janvier 2024
Dans une récente opinion publiée dans le New York Post, l’auteur met en garde contre l’obstacles qui pourraient rendre le contrôle du maire sur les écoles de New York inefficace. L’article souligne l’importance de renforcer la confiance du public dans le système éducatif et de ne pas laisser les politiques partisanes empoisonner le potentiel d’amélioration.
L’auteur commence par souligner les récentes turbulences entourant le contrôle du maire sur le système scolaire de la ville de New York. Bien que les intentions initiales soient nobles – permettre au maire de faire preuve de leadership et de responsabilité dans l’éducation – les obstacles rencontrés ont sérieusement nuit à l’efficacité du contrôle du maire.
La principale cause de préoccupation abordée dans l’article est l’introduction de “pilules empoisonnées”. Ces pilules, selon l’auteur, se profilent sous différentes formes politiques et partisanes et nuisent à la qualité de l’enseignement offert aux élèves new-yorkais. L’article met en évidence trois exemples récents qui ont alimenté le scepticisme du public : la politisation des programmes d’études, les tensions entre le maire et les syndicats d’enseignants, ainsi que la division partisane autour des politiques éducatives.
Premièrement, l’auteur souligne que les programmes d’études des écoles new-yorkaises ont été de plus en plus politisés, mettant ainsi en péril le développement intellectuel des élèves. Les positions controversées qui ont été intégrées dans les manuels scolaires suscitent des inquiétudes quant à l’équilibre des connaissances transmises aux élèves. Une éducation impartiale et objective devrait être un objectif essentiel du contrôle du maire, selon l’auteur.
Deuxièmement, les relations tendues entre le maire et les syndicats d’enseignants ont créé un climat de méfiance et ont entravé la coopération nécessaire pour améliorer le système éducatif. L’auteur argue que les intérêts politiques des syndicats peuvent éclipser les besoins réels des élèves et remettre en question l’autorité du maire en matière d’éducation.
Enfin, les politiques éducatives sont devenues un champ de bataille politique. L’auteur souligne la division partisane croissante qui influence les décisions politiques sur l’éducation. Cette polarisation, selon l’auteur, nuit à l’objectif principal de tout système éducatif : élever le niveau de compétence et de connaissance des élèves.
En conclusion, l’article souligne la nécessité de résoudre ces problèmes et de trouver des solutions qui renforcent la confiance du public dans le contrôle du maire sur les écoles de New York. Il encourage les responsables politiques et les parties prenantes à œuvrer ensemble, en mettant de côté les intérêts partisans, dans le but de garantir une éducation de qualité, impartiale et équilibrée pour tous les élèves de la ville.